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mardi 24 janvier 2017

Le Schtroumpf financier (Peyo)






Tome 16
Nationalité de l’auteur: Belge
Editions Le Lombard (23 Juin 1999)
48 pages
ISBN-10: 2803614545
ISBN-13: 978-2803614547
Genre: Bande-dessinée
Lu le: 21 Janvier 2017
Ma note: 17/20




L’histoire:

            Suite à une manipulation hasardeuse, le Grand Schtroumpf tombe malade. Afin de lui rapporter un médicament, un Schtroumpf se rend dans le monde des humains et est, pour la première fois, confronté à l'argent. Fasciné, il décide d'introduire, dans le village Schtoumpf, un système monétaire. D'abord amusés par la nouveauté, les Schtoumpfs comprennent vite les inconvénients de ce système !

Mon avis:

            Que dire, si ce n’est qu’il s’agit ici encore d’une bonne histoire des Schtroumpfs. Et qui en plus, la dernière signé de la plume de Peyo en personne. Dans ce tome, l’argent (humain) est au centre du quotidien des Schtroumpfs. On aurait pu penser que ce mode de vie lambda pour nous, aurait pû être abordé beaucoup plus tôt chez les Schtroumpfs, car je pense que les fans des petites lutins bleus ont déjà dû y penser dés le début.

Un petit Schtroumpf décide donc de ramener de son expédition chez les humains, l’argent et la monnaie dans le village des Schtroumpfs. Tout va alors être mis en place et chacun s’accommode bien de ce nouveau mode de vie, à l’abri du Grand Schtroumpf qui se rétabli doucement sous les soins de la Schtroumpfette. Mais très vite au village, tout comme dans la société humaine, des différences significatives de richesse vont apparaître. Il y a donc d’un côté ceux qui ne manquent pas d’argent et qui ne savent même pas quoi en faire, et de l’autre côté, ceux qui sont obligé de demander crédit jusqu’à léguer ses biens. Les Schtroumpfs ne rendent donc vite compte que joie et bonheur ont disparus au profit de cet or…

Cette histoire, par le biais des petits Schtroumpfs, montre que l’argent ne fait pas le bonheur. On y trouve également un clin d’oeil quant à la situation féminine, reléguée au rang de garde malade, mère au foyer et femme de ménage… 
Et à la fin du livre, on se demande même de façon très utopique, si tout comme les Schtroumfps, on ne serait pas mieux si on vivait sans argent...


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